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Accepter la complexité d’une problématique de management, C’est déjà sortir du réductionnisme.
– C’est accepter qu’il n’y a pas de solution simple voire simpliste à un problème complexe.
– C’est accepter de ne pas savoir1.
Ce n’est pas pour ça qu’il faut en rester à la paralysie, l’action reste possible, mais il faut agir pour expérimenter, pour dé-couvrir et non pour résoudre.
Et au fur et à mesure qu’on avance , comprendre que l’on cherche juste à comprendre 23, c’est à dire :
– bien distinguer, de plus en plus finement, ce qui est, 4
– et discerner ce qu’on veut de ce ce que l’on ne veut pas.
– et le conceptualiser pour pouvoir le partager à plusieurs, inclure avec des mots,
– c’est créer la clarté nécessaire à l’action.
(Cela à été drôle pour moi de voir le parallèle avec la philosophie)
- pas toujours évident pour un manager, censé être un sachant, pour diriger ↩
- La motivation « simple » est de vouloir le résultat, ou de se débarrasser du problème, ou de l’inconfort généré. ↩
- L’agile se veut incrémentale et itérative. Itérative, c’est apprendre au fur et à mesure. ↩
- « croire ce que l’on voit, plutôt que voir ce que l’on croit » (ref Watzlawick) ↩